La faim et la malnutrition constituent le risque sanitaire mondial le plus important
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plus que le SIDA, le paludisme et la tuberculose réunis.
La faim et la malnutrition constituent le risque sanitaire mondial le plus important
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plus que le SIDA, le paludisme et la tuberculose réunis.
Mali, Portugal, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Sénégal, Cameroun, RDC (République Démocratique du Congo)
En 2020, la malnutrition reste un fléau qui touche la planète de manière frontale et brutale. Les causes de la malnutrition sont multiples : la pauvreté, le chômage, les fortes densités de population limitant l’accès à des terres fertiles. Aujourd’hui, ce sont plus de 821 millions de personnes qui souffrent de la faim chronique dans le monde. Une personne sur 10 ne mange pas à sa faim; ce sont donc autant d’individus qui ne reçoivent pas les apports nutritionnels nécessaires à une vie saine et active.
La malnutrition est un mal insidieux et 3/4 des enfants touchés le sont par des formes modérées ou légères qui ne s’accompagnent d’aucun signe physique. Lutter contre la malnutrition ne peut donc se limiter à combler l’appétit, il s’agit avant tout d’assurer la satisfaction quotidienne des besoins nutritionnels des populations touchées. Si certaines parties du monde ont accompli des progrès spectaculaires contre la malnutrition, en moins de 5 ans, le nombre absolu d’enfants malnutris a augmenté de manière considérable dans le monde. En cause, les disparités croissantes entre les revenus et la diminution des prestations sociales, qui dans certains pays industrialisés ont des effets dévastateurs sur le bien-être nutritionnel des enfants. Par ailleurs, les crises comme celles que connaît la région des Grands Lacs en Afrique centrale participent à aggraver l’état nutritionnel des enfants.
Malgré les appels et les faits alarmants, l’opinion publique semble rester sourde à cette urgence sanitaire. C’est pour apporter un rempart à cette pandémie, que la Fondation Yiri voit le jour.
En 1998 déjà, l’Unicef alerte : « La malnutrition joue un rôle dans la moitié au moins des décès d’enfants dans le monde, ce qui est plus que n’importe quelle maladie infectieuse – et pourtant, ce n’est pas une infection. Elle laisse, chez des millions de survivants, des séquelles durables sous forme d’infirmités, de vulnérabilités chroniques aux maladies. C’est une menace qui pèse sur les femmes, les familles et les sociétés tout entières, elle constitue une violation indigne des droits de l’enfant. »
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Malgré les appels et les faits alarmants, l’opinion publique semble rester sourde à cette urgence sanitaire. C’est pour apporter un rempart à cette pandémie, que la Fondation Yiri voit le jour.
En 1998 déjà, l’Unicef alerte : « La malnutrition joue un rôle dans la moitié au moins des décès d’enfants dans le monde, ce qui est plus que n’importe quelle maladie infectieuse – et pourtant, ce n’est pas une infection. Elle laisse, chez des millions de survivants, des séquelles durables sous forme d’infirmités, de vulnérabilités chroniques aux maladies. C’est une menace qui pèse sur les femmes, les familles et les sociétés tout entières, elle constitue une violation indigne des droits de l’enfant. »
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